Poissons

Seules deux espèces de poissons survivent actuellement dans le Rhône : la truite et le chabot. Ce constat est effrayant sachant que cette situation n’est qu’un pâle reflet de la faune diversifiée d’antan (plus de dix espèces étaient autrefois considérées comme indigènes). La troisième correction du Rhône représente une opportunité d’amélioration de l’habitat pour la faune piscicole.
 

Le brochet, poisson de l’année 2023

Elu poisson de l’année 2023, le brochet (Esox lucius) est un magnifique animal dont le nom latin signifie «lumière». Ce nom se rapporte à sa belle robe verte et jaune, aux reflets couleurs bronze. En Valais, le brochet n’est pas très abondant, à l’exception du Léman

article dans fauna.vs info 44/2023
 

Repeuplement artificiel des cours d’eau: du changement en vue

«La pérennité de populations piscicoles saines et leur exploitation durable ne peuvent être assurées qu’au sein d’habitats intacts.» Cette phrase, tirée de la publication de l’OFEV «Repeuplement durable des cours d’eau», énonce un principe simple: le maintien d’une population animale passe toujours par la sauvegarde de son habitat. Ce constat n’est pas nouveau et fauna•vs en parlait déjà en 2011, dans un article traitant justement de la problématique du repeuplement artificiel des cours d’eau (voir encadré).

article dans fauna.vs info 36/2019


Etude sur le rempoissonnement des rivières valaisannes au moyen d’alevins de truite: prise de position de fauna•vs

L’Etat du Valais, via son Service de la Chasse, de la Pêche et de la Faune, s’est fendu d’une étude expérimentale sur les effets du rempoissonnement au moyen d’alevins. En l’absence de zones témoins on ne peut malheureusement tirer aucune conclusion de cette expérience. Par ailleurs, les interprétations qu’en tirent nos agents étatiques biaisent les conclusions de l’auteur français de ce rapport!

article dans fauna.vs info 33/2018


Détection des frayères: une nouvelle approche avec les drones

Les effets négatifs possibles des drones sur la faune ont été abordés dans de précédents bulletins: les oiseaux et autres animaux sauvages peuvent percevoir ces engins comme une menace, ce qui peut entraîner du stress et affecter la survie et le succès reproducteur. Mais il y a aussi de «bons» drones. Dans l’article présenté ci-dessous, Matteo Roncoroni nous explique comment les drones sont utilisés pour détecter les frayères de truite et ainsi contribuer à la recherche sur la reproduction et la protection des poissons.

article dans fauna.vs info 33/2018

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